top of page

Les Dishwasheurs

Une comédie noire de Morris Panych adaptée et mise en scène par Stéphane Demers. Avec Stéphane Crête, Jacques L’Heureux, François Papineau et Benoît Drouin-Germain. Assistance à la mise en scène et régie Colette Drouin | Scénographie et accessoires Geoffrey Levine | Lumières Martin Sirois | Conception sonore Jean-Frédéric Messier | Costumes et accessoires Sharon Scott | Maquillage Florence Cornet | Direction technique Hugo Hamel |Direction de production Judith Saint-Pierre | Chanson thème Hoshelaga 

 

Dishwasheur. Laveur de vaisselle. Un emploi? Une vocation? Une déchéance? Un jeune homme d’affaires ayant perdu sa fortune se retrouve forcé à faire la plonge dans un grand restaurant. Ironie suprême, il était un client régulier de l’établissement, il est maintenant obligé d’en découvrir les coulisses, le travail abrutissant, l’humiliation de tous les jours, l’absence absolue de considération de la part des patrons, et la tension constante d’avoir à travailler avec des hommes qui eux, sont de vrais dishwasheurs et qui, non seulement assument très bien leur position dans « la chaîne alimentaire», mais en tirent même une fierté certaine.- Nous sommes des DISHWASHEURS !Travailler, c’est être essentiel. Si on ne travaille plus, qu’est-ce qu’il reste de notre essence?

 

Dramaturge, acteur et metteur en scène, Morris Panych est né en 1952 à Calgary et a grandi à Edmonton. Il fait ses études au Northern Alberta Institute of Technology, puis à l’Université de la Colombie-Britannique. Il a dirigé plus de quatre-vingts productions et écrit plus de deux douzaines de pièces qui ont été produites à travers le Canada, la Grande-Bretagne et les États-Unis. Il remporte le Prix du Gouverneur général pour ses pièces The Ends of the Earth en 1994, et Girl in the Goldfish Bowl en 2004. Il travaille principalement à Vancouver, et plus récemment à Montréal.

Playtime

Création et mise en scène Céline Bonnier Création et interprétation Paul-Patrick Charbonneau, Stéphane Crête, Gaétan Nadeau, Clara Furey, Nancy Tobin Régie et assistance à la mise en scène Colette Drouin | Conception sonore Nancy Tobin |Création et scénographie Lino | Éclairages Alexandre Pilon-Guay | Direction technique Alexandre Brunet |Direction de production Lucie Mineau 

 

Après avoir visité les sphères de la mort et du deuil avec LA FÊTE DES MORTS et LE CHANT DES GASTON, Céline Bonnier explore l’énergie vitale de l’éros dans sa prochaine création, PLAYTIME. PLAYTIME aborde le thème de l’Éros. Mais qu’est-ce que l’Éros ? Pulsion de vie, de combat, élan vers l’autre, désir de l’autre, libido créatrice ? Quelle est cette énergie qui se meut en un élan inéluctable? Qu’en faisons-nous ? Comment agit-elle sur la personnalité ? Céline Bonnier s’interroge sur le sens de cette énergie qui pousse à sortir de soi et à rencontrer l’autre, malgré le risque que comporte le dévoilement de l’intimité. Pour réaliser ce spectacle et se questionner sur l’Éros, elle a voulu réunir des concepteurs de divers horizons, fleuretant avec la danse, le mouvement, l’espace et le son. Quant au titre du spectacle, PLAYTIME, il fait volontairement référence au film de Jacques Tati qui a bouleversé le rapport sonore au cinéma, le déstructurant au même titre que la narration à l’écran. Céline Bonnier cherche à transposer cette démarche de création au théâtre.

2012

 

Le Grand cérémonial et autres Arrabalesques

Textes de Fernando Arrabal Mise en lecture: Stéphane Crête Mise en bouche: Céline Bonnier, Stéphane Demers, Stéphane Crête, Sylvie Moreau, Dominique Leduc, Didier Lucien et Jean-Frédéric Messier Mise en musique: Jean-Frédéric Messier Mise en lumière: Régis Guyonnet

 

 

Panique de textes théâtraux de Fernando Arrabal, présenté à la manière momentumienne

 

En collaboration avec Symfolium, l’Université de Foulosophie et Momentum

 

Événement présenté dans le cadre de la semaine Arrabal à Montréal, organisé par l’Université de Foulosophie.

 

S’inspirant de la venue de Fernando Arrabal à Montréal, Momentum plonge dans la foisonnante dramaturgie de cet esprit libre pour tenter d’en extraire la substantifique moelle. En présence de Fernando Arrabal, la lecture sera suivie d’un échange avec le public.

 

Mise en lecture: Stéphane Crête Mise en bouche: Céline Bonnier, Stéphane Demers, Stéphane Crête, Sylvie Moreau, Dominique Leduc, Didier Lucien et Jean-Frédéric Messier Mise en musique: Jean-Frédéric Messier Mise en lumière: Régis Guyonnet

 

«Un théâtre fou, brutal, clinquant, joyeusement provocateur. Un potlatch dramaturgique où la carcasse de nos sociétés « avancées » se trouve carbonisée sur la rampe festive d’une révolution permanente. Il hérite de la lucidité d’un Kafka et de l’humour d’un Jarry ; il s’apparente, dans sa violence, à Sade ou à Artaud. Mais il est sans doute le seul à avoir poussé la dérision aussi loin. Profondément politique et joyeusement ludique, révoltée et bohème, elle est le syndrome de notre siècle de barbelés et de goulags : une façon de se maintenir en sursis.» -Dictionnaire des littératures, éd. Bordas.

bottom of page